Exposition du 21 février au 5 mars 2023
Vernissage le jeudi 23 février 2023 : 18 heures
Entrée libre
Vernissage le jeudi 23 février 2023 : 18 heures
Entrée libre
« S’exprimer est recherche d’un éclat de lumière – lumière du sujet qui montre, lumière du regard qui reçoit, et connivence lumineuse des deux.
Tous les trois, dans des contextes et par des médiums artistiques différents, peinture, dessin, sculpture, créons des objets esthétiques porteurs de sens et d’émotions.
Le hasard, dans sa pleine signification d’imprévu et d’aventure, nous a fait nous rencontrer. Aussi avons-nous éprouver tous les trois la nécessité de célébrer cette Rencontre, et sa fondation : le désir.
Désir de se montrer nos travaux respectifs, de les partager, d’inventer un accord pour les faire converser entre eux. Désir ensuite de les présenter au spectateur, au regardeur en convoquant nos gestes artistiques en un même lieu ; oui, désir d’un espace commun où, nous l’espérons, une alchimie opérera entre nos trois mondes, nos trois planètes.
Deux significations moins connues du terme rencontre sont l’instant du passage d’une sonde spatiale au plus près d’un corps céleste lors d’une mission de survol ; période durant laquelle la sonde observe ce corps. Et dans l’héraldique, qui est l’étude des blasons, rencontre, au masculin, est une tête d’animal représentée seule et de face.
Disons que nous élisons un ciel pour un temps d’observation active, sensuelle, heureuse de nos trois « animalités », et le 59 de par son histoire singulière, son emplacement et la générosité de ses volumes, nous semble être le cadre idéal pour accueillir cet événement. »
Tous les trois, dans des contextes et par des médiums artistiques différents, peinture, dessin, sculpture, créons des objets esthétiques porteurs de sens et d’émotions.
Le hasard, dans sa pleine signification d’imprévu et d’aventure, nous a fait nous rencontrer. Aussi avons-nous éprouver tous les trois la nécessité de célébrer cette Rencontre, et sa fondation : le désir.
Désir de se montrer nos travaux respectifs, de les partager, d’inventer un accord pour les faire converser entre eux. Désir ensuite de les présenter au spectateur, au regardeur en convoquant nos gestes artistiques en un même lieu ; oui, désir d’un espace commun où, nous l’espérons, une alchimie opérera entre nos trois mondes, nos trois planètes.
Deux significations moins connues du terme rencontre sont l’instant du passage d’une sonde spatiale au plus près d’un corps céleste lors d’une mission de survol ; période durant laquelle la sonde observe ce corps. Et dans l’héraldique, qui est l’étude des blasons, rencontre, au masculin, est une tête d’animal représentée seule et de face.
Disons que nous élisons un ciel pour un temps d’observation active, sensuelle, heureuse de nos trois « animalités », et le 59 de par son histoire singulière, son emplacement et la générosité de ses volumes, nous semble être le cadre idéal pour accueillir cet événement. »
Jean-Claude Bonnifait